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La fleur sortant du béton

Anonymous




Invité
Invité
Dim 23 Aoû - 20:44

 
La fleur sortant du béton 77fp
 
I AM TSUBAKI ASAHINA
« Sachez, cher ami, que l'habit ne fait pas le moine. »

 

 
La fleur sortant du béton Jlmz
   
 


   ✘ Name; Asahina
  ✘ First Name; Tsubaki
  ✘ Age; 22 ans
  ✘ Sexuality; Homosexuel
  ✘ Préférence; Ambivalent
  ✘ Nationalité; Japonais
  ✘ Anything else ?; /


 
Behind the computer;

  ✘ Name; Secret !
  ✘ Surname ?; Sethys ou Tsubaki, comme vous le sentez!
  ✘ Age; Majeure et vaccinée depuis un bon moment
  ✘ Gurl or dude ?; Gurl, man !
  ✘ Presence; Dès que je peux, ça variera en fonction de mon boulot mais globalement, je serais assez régulière.
  ✘ Anything else ?; Cookies pour tout le monde! ♥
  ✘ Personnage sur l'avatar; C'est un personnage original de l'artiste Erise.
  ✘ Code; You f*cking lil' bitch! è____é
 

 
 
History

Chapitre I : Suivons le Lapin Blanc ♪


La famille Asahina est une des plus puissante famille du monde de la finance japonaise.
Depuis des décennies, elle perdure et assied de plus en plus sa suprématie, se voyant ainsi considérer comme l'une des famille les plus riche de l'archipel asiatique et, pour les plus optimiste, de l'Asie tout court.
Partant de ce postula, le couple principal formé par Shin et Anaka Asahina, décidèrent un beau jour d'avoir un enfant. Cependant, ils n'étaient pas motivés par l'amour parental, étant très heureux que tout les deux, mais plus par l'idée d'avoir un héritier. Et puis, à leur âge, c'était la "mode" d'avoir des enfants, alors autant suivre celle-ci...
Aussitôt dit, aussitôt, fait !
Neuf mois plus tard Anaka accoucha... Mais ça ne se passa pas comme le couple l'aurait voulu.
Eux qui attendait un enfant unique et, de surcroit, un garçon, se retrouvérent avec une petite fille sur les bras. Mais, à peine avait-elle finit de sortir du ventre maternel qu'un second nourrisson montra le bout de son nez. Et cette fois-ci, pour le coup, c'était bien ce  qu'avait désiré le couple.

Cependant, bien qu'ils eurent désiré une progéniture, Shin et Anaka ne s'en occupèrent pas pour autant.
Trouvant que ces marmots passaient leur temps à pleurer pour un rien, ils les délaissèrent vite, les donnant à quelque nounou compétente.
Ainsi, les jumeaux passèrent une enfance un peu particulière. Royalement délaissé par leurs parents qui n'avaient strictement rien à faire d'eux, ils furent élevés par l'une de leur nounou, Mme Kurowa, une femme aussi douce que ferme. Étant de modeste condition, cette brave femme, qui pour sa part n'avait jamais eut d'enfants, donna aux petits tout l'amour maternel qu'elle pouvant avoir. Aussi, elle leur apprit tout ce qu'elle savait en plus des nombreux précepteurs qu'eurent les enfants. Car oui, Tsubaki eut très tôt des précepteurs et heureusement que sa sœur était là par ailleurs. Étant un enfant très vif et ne tenant que mal en place, le petit garçon avait un mal fou à rester concentré et il n'était pas rare de le voir filer en douce pour aller jouer dès que le professeur avait le dos tourné.
Mais vous allez me dire : pourquoi les jumeaux ont-ils eut des précepteurs alors qu'ils auraient put aller à l'école?
Et bien, leurs parents, bien que ne s'occupant jamais d'eux, allant jusqu'à les ignorer, ne souhaitaient cependant pas qu'il fusse mal éduqués par une quelconque école. Il en allait de la réputation de leur famille après tout.
Ainsi, ils préféraient mettre le sort de leurs marmots entre les mains de gens qu'ils jugeaient compétant. Se rendant compte bien vite de ça, le petit Tsubaki se forgea rapidement un caractère bien à lui et, ayant soif de la reconnaissance de ses géniteurs, il n'avait de cesse de tenter d'attirer leur attention. Au début, il se contentait de se plier aux archétypes les plus parfaits de l'enfant modèle (avec beaucoup de mal, certes). Il était polie, serviable et se forçait à suivre ses cours et à avaler des bouquins entiers dans l'espoir que ses parents le félicite seulement.
Mais tout ça changea bien vite.

Arrivé à l'aube de ses 13 ans, le petit garçon, qui avait toujours été d'une constitution fragile contrairement à sa sœur, tomba gravement malade. Cloué au lit pendant des mois, il serait mort si ça avait été sans compté l'intervention d'un médecin de renom. Cependant, même alors qu'il était alité, personne ne vint le voir. Hormis sa sœur et leur nounou.
De cette courte mais horrible expérience, l'enfant en tira une rage et une haine profonde envers l'indifférence de ses parents. Dorénavant, il ne cherchait plus à s'attirer leurs grâces, mais plutôt à les mettre dans l’embarras car leur nom était visiblement tout ce qui leur importait.
Et, cerise sur le gâteau, en plus de tout ça arriva l'adolescence...
Se révélant casse-cou à souhait et turbulent, Tsubaki et sa sœur se mirent à écumer boites et rallyes mondains, se faisant en peu de temps une réputation pour le moins scandaleuse et sulfureuse. Leurs parents essayèrent bien de les arrêter, mais ce fut sans effet. Plus ils tentaient de les faire stopper, plus ils s'enfonçaient dans l'outrance en une spirale infernale sans fin. Ce fut d'ailleurs à ce moment là qu'il découvrit son gout prononcé pour se faire passer pour une femme et qu'il réalisa qu'il avait les traits parfaits pour. Autant dire qu'il en usa et abusa en tous sens.
Alcool, drogue, sexe... Il compensait le manque affectif laissé par ses parents par les autres personnes croisant sa route, n'hésitant pas à les charmer pour les jeter l'instant d'après. La seule personne envers qui il restait fidèle et d'une douceur exemplaire était sa sœur. Et, bien qu'elle servait de catalyseur à toute la frustration sentimentale de son frère, elle le suivait tout de même allégrement dans ses nuits de débauche.
Mais, même avec tout ça, ses parents ne bougèrent pas le petit doigt pour eux.
Et alors, arriva ce qui devait arriver.
Tsubaki franchit la limite et, un soir, il fut transporté en urgence à l'hôpital le plus proche, en pleine crise blanche.
Encore une fois, personne ne vint. Sauf sa sœur et sa nounou.
Mais un petit quelque chose d'autre lui arriva. Une lettre. De son père.
Fou de joie de ce petit intérêt qu'on lui portait enfin, le jeune homme déchira la lettre, avide de lire ce qui était écrit dessus. Deux lignes. Deux petites lignes qui lui firent l'effet d'une douche glaciale.
« Tu es déshérité, ne revient pas. Tu n'es plus notre fils. »
Pour la dernière fois, Tsubaki pleura.

Chapitre II : Peignons les roses en rouges ♫

Perdue dans le nord du Japon, l'Institut du Lagon Bleu était un complexe flambant neuf spécialement construit pour accueillir un centre de désintoxication. Il va sans dire que les débuts de Tsubaki en ces murs furent plus que douloureux, comme tout sevrage. Et, même si sa sœur venait le voir régulièrement, il attendait toujours, presque désespérément, la venue de ses géniteurs. Ainsi, tous les jours il s’asseyait sur un banc de l'institut qui donnait sur la vallée en contrebas et sur l'unique chemin qui pouvait amener les gens en ce lieu. Et tous les jours il guettait l'arrivée d'une voiture qui jamais ne vint.
En revanche, ce fut autre chose qui arriva.
Un jour comme un autre, alors qu'il était perdu dans ses pensées, une voix masculine le tira de ses rêveries. Levant la tête, il se rendit compte qu'un homme d'une quarantaine d'années se tenait en face de lui, lui demandant si la place sur le banc était libre. Hochant la tête, il le laissa s'assoir.
En y regardant de plus près, il avait déjà vu cet homme ici. Il venait souvent voir un garçon un peu plus vieux que lui qui n'en était manifestement pas à sa première fois dans un institut comme celui-ci. Se mettant à discuter de tout et de rien avec cet homme aux cheveux poivre et sel, il finit par lui demander si, lorsqu'il sortirait d'ici, un vrai travail l'intéressait. Sur le coup, il ne lui répondit pas, repensant à la lettre de ses parents, gorge serrée. Et puis, il n'avait pas le moins du monde envisagé l'idée de s'insérer dans la vie active. Il lui laissa sa carte, lui disant de le contacter quand il le voudrait. Et au pire, même s'il ne le faisait pas, ça ne serait pas bien grave. Au moins, il aurait eut une discussion agréable.

Au bout de trois mois à l'institut -et très ironiquement, le jour de son 20éme anniversaire- Tsubaki fut finalement jugé totalement clean et il retourna dans le monde d'au-delà la vallée. Sa sœur vint le chercher et l'hébergea dans l'appartement pour le moins luxueux qu'elle avait dans le centre de Tokyo. Le tout, dans le secret le plus complet vis à vis de ses parents. Ayant reprit l'entreprise familiale, elle avait déjà commencé à se faire une timide réputation dans le milieu des finances mais qui présageait beaucoup. En la voyant si épanouie et aimant son travail, le jeune homme ressortit la carte du quarantenaire aux cheveux gris et l'appela finalement.
Dai Akinobu. C'était le nom de ce petit homme aux mains noueuses.
Fort content de l'appel de Tsubaki, il lui proposa une semaine à l'essai dans son petit commerce de fleuriste. Ça ne payait pas de mine mais c'était déjà quelque chose. Et puis, c'était mieux que rien.
Ce fut entre ces murs clairs et mouchetés de palettes colorées dû aux différentes fleurs que l'androgyne se découvrit une véritable passion pour la flore. Se noyant avec plaisir dans son nouveau travail, le vieux Akinobu ne manqua pas de l'embaucher avec plaisir. Durant deux ans, Tsubaki travailla paisiblement dans ce petit commerce, tentant de faire table rase de ce qui lui était arrivé et n'en parlant d'ailleurs pas. Malgré tout, son corps en garde les traces et il se déteste un peu pour ça. Mais il ne renie pas ce qu'il a fait ni ce qu'il a été pour autant, il tente juste de vivre avec.
S'étant largement assagit et ayant également murit, il n'en fallut pas plus au vieil homme pour céder à son poulain son commerce. Ainsi, depuis 4 mois, Tsubaki est l'heureux propriétaire de la petite boutique de fleurs située dans le centre-ville d' Hiroshima. Et la vie suit paisiblement son court...



 
© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'




 

 
Physical

             
La fleur sortant du béton Zact
Yeux; Marron très foncés tirant sur le noir.
   ✘ Peau; Blanche. Genre tu vois l'aspirine? Bah tout pareil.
   ✘ Cheveux; Noirs, très longs et raides comme des baguettes.
   ✘ Taille; 1m67
   ✘ Poids; Inconnu mais il est pas bien épais.
   ✘ Tatouage/Piercing; Aucun
   ✘ Signe particulier; Il possède de petites cicatrices de piqures au niveau des bras et des pieds. Il est également est extrêmement androgyne. Certes, il ne s'en prive pas pour en jouer, mais tout de même, ça ne manque pas de troubler.
   ✘ Autre; Son androgynie est à un point tel qu'il est difficilement différenciable avec une femme. Et, à moins qu'il ne vous fasse toucher son torse ou que vous puissiez entrevoir son entre-jambe bien masculin, vous le prendrez assurément pour une demoiselle.

   ✘ Style Vestimentaire; Tsubaki est un fanatique assidu des kimonos en tout genre et des habits traditionnels nippons. Il est donc particulièrement fréquent de le voir vêtu de ces derniers, que ce soit des modèles pour femmes ou hommes. Tant qu'il apprécie ce qu'il porte, il met tout, sans faire attention pour quel sexe à été crée le vêtement.
Il lui arrive cependant, en de rares occasions, de porter des vêtements plus contemporains et masculins ou unisexes pour le coup. T-shirt, chemises, jeans... Il est un peu plus aisé de comprendre que c'est un homme quand il est habillé ainsi, même si ça reste toujours aussi perturbant pour certains.
 

 
Mentality

             
La fleur sortant du béton C5sb
Qualités; Calme, sociable, passionné, très professionnel, observateur, joueur, protecteur, coquet.
   ✘ Défauts; Jaloux, sait être glacial, possessif, déteste perdre, sarcastique, entêté, rancunier, violent, a très peur de s'engager dans des relations poussées car il est incroyablement maladroit sentimentalement parlant.
   ✘ Hobbie/Phobie; Les fleurs, la lecture, la sculpture / Tsubaki n'est pas phobique en soit, mais il est sujet au vertige.
   ✘ Traits de Caractère; Professionnellement parlant, il n'y a rien à y redire, il est parfait. En privé par contre, il faut pouvoir le supporter. Car autant il peut être affectueux et doux quand il veut, autant, s'il est contrarié ou de mauvais poil, il peut rapidement devenir franchement chiant. Après, il reste cependant difficile de le pousser à bout, à moins que vous ne touchiez une corde sensible ; car là, il part au quart de tour.
   ✘ Ce qu'il aime; Son métier, les fleurs, l'art en général, le chocolat chaud.
   ✘ Ce qu'il déteste; Les chiens, les clients difficiles, les aliments acides, le froid, ses parents.
   ✘ Manies; Quand il s'amuse beaucoup ou qu'il stresse énormément, il a la fâcheuse tendance à se passer les doigts dans les cheveux.
   ✘ Rêve; Inconnu. C'est à se demander s'il en a un depuis qu'il a ouvert son commerce.
   ✘ Autres; Il ne semble ne plus entretenir aucun rapport avec sa famille bien qu'elle soit toujours en vie.
 
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Anonymous




Invité
Invité
Lun 24 Aoû - 23:49
Félicitations







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Bon jeu !

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