I AM ZETSU USAMI
« So grab your black umbrella and make your way down to the graveyard
Where you’ll find the tree to which I tied this rope
And nothing is for certain, that’s the only thing I know
But I’m certain that it’s time for me to go
It’s nothing personal, it simply hurts to know
That I will be alone »
| ✘ Name; Usami ✘ First Name; Zetsu✘ Age; 23 ans✘ Sexuality; Homo ✘ Preference; Uke✘ Anything else ?; Nope.Behind the computer; ✘ Name; Anna✘ Surname ?; 'Na✘ Age; 18 ans✘ Gurl or dude ?; Guuuuurl~✘ Presence; 8-9/10 ✘ Anything else ?; Nope✘ Personnage sur l'avatar; Link de Legend of Zelda✘ Code;
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History
/Attention, âme sensible s'abstenir\
Tu n'as jamais voulu naître dans la famille qui t'avait été attribué à ta naissance, car le chemin de ta vie semblait déjà tout tracé à ta place et ce, même avant ta naissance. Tes parents étaient aimant, mais strict et très peu ouvert à la conversation, en particulier ton père que tu te devais de respecter, car il t'eut donner ce qu'il y avait de plus précieux : la vie. Oh! Ta mère ne servait qu'à transporter l'enfant et servir son mari au nom de l'amour. Ta très chère mère s'excusait sur tout et ton père, lui, s'amusait à critiquer tout ce qui n'était pas parfait ou à son goût. Ton père, Akira, travaillait d’arrache-pied dans une compagnie, faisant beaucoup d'argent, mais n'ayant presque aucun temps à t'accorder, sauf le Dimanche où vous étiez réunis en famille pour la messe.
Au début, tu ne comprenais pas vraiment pourquoi tu faisais cela, pourquoi dieu était aussi strict, mais peu à peu, tu finis par t'y habituer. Enfin, tu n'avais pas vraiment le choix puisque tu allais devenir prêtre selon tes très chers parents et lorsque tu leur dit que tu voulais t'impliquer dans l'église, aider ce pauvre vieil homme à balayer et faire quelques corvées comme celles-ci, ta mère Hikari sauta presque de joie en allant demander au prêtre si cela lui ferait plaisir... Cet être ''bon'' accepta volontiers l'aide de ce gamin, en l'occurrence toi et te donne un balais pour nettoyer, te disant quoi faire. Les premières fois où tu y allais, c'était plutôt plaisant, jusqu'à ce que ta mère ne te demande de rester un peu plus longtemps là-bas alors qu'il n'y avait plus rien à faire. Cet homme s'était approché de toi d'une manière à la fois délicate et horrifiante. Il avait commencé à touché cet endroit gênant, cet organe en te disant que tu ne pouvais avoir du plaisir avec
cela qu'avec un messager de dieu. C'était si simple corrompre un enfant comme toi qui ne comprenait pas trop ce qu'il se passait, mais qui n'avait pas de plaisir. Un enfant qui avait peur d'aller en enfer et un prêtre qui disait que de parler de l'événement avec quelqu'un d'autre que lui pouvait le rendre dans les flammes sataniques ne faisait pas un bon mélange... Enfin, tout dépendait pour qui hein, car cet abuseur d'enfant semblait s'y prendre au jeu avec entrain.
Cette relation se perpétuait jusqu'à la fin de ton collège, où tu réalisas l'horreur de ce qui s'était produit durant ces années qui avait semblé interminable. C'était un de tes amis qui t'avait fait réalisé que c'était mal, étant toujours aussi chrétien que toi, il t'avait dit que peu importe le statue, un homme restait un homme. Tu ne pouvais pourtant rien dire à tes parents et tu n'en avais pas non plus l'envie.Tu continuais, cependant, d'aller à cet église avec ce prêtre et à l'aider jusqu'à la fin de la semaine avant qu'il ne dise à ta mère qu'il n'avait plus besoin de lui sous les menaces d'appeler la police. Lorsque ce fut enfin terminé, tu trouvais que tout ce que tu avais vécu n'était que la stupidité enfantine que tu avais, tu te blâmas surtout pour cela et le dégoût venait à chaque Dimanche.
Le lycée changea complètement ta vie. Il n'y avait pas de chrétien ou très peu, alors tu n'avais d'autres choix que de t'intégrer aux autres, n'aimant pas être seul. Ton physique avantageux t'aida à avoir des amis, tout comme ton talent presque inné au basket. Tu étais très populaire, tout le monde connaissait ton nom. Tes vêtements de bon garçon se transformèrent en un style beaucoup plus cool et jeune. Tu continuais à aller à l'église pour cacher ce secret, ayant toujours cette haine et ce dégoût qui même aujourd'hui, en y repensant, te fait encore plus d'effet qu'avant... Ou pas, vous aller voir.
Puis, durant ta deuxième année de lycée,
il arriva. Ikuto, le mec le plus magnifique et fabuleux de la terre entière. Son teint plus foncé, ses cheveux blancs teints, ses grands yeux bruns et le losange sous son œil droit qu'il faisait à tous les jours et ce, juste pour le style lui donnait le ton parfait que tu aimais tout comme son odeur et sa voix. Tous le trouvait étrange et déplacé par moment, mais toi, tu voyais en lui, sous ses airs fiers et arrogant, un être sensible qui se devait d'être écouté. Il était ton premier amour, alors que toutes les femmes t'idolâtrait, toi, tu tombais amoureux du plus nul des nuls selon tes amis le caractérisant de taré et toi prenant sa défense. Tu t'étais attaché à lui, au fil des conversations et ce n'était que quelques semaines plus tard que tu compris que c'était en fait de l'amour, envers un homme. Durant des mois, tu refoulas tes sentiments, t'éloignant quand il se rapprochait, toujours un peu effrayé voir à quel point tu ne pouvais les refouler, mais tu lui parlais moins, l'évitant presque et faisant toujours de petites conversations qui te rendait heureux en quelque sorte. Puis, un jour alors que tu étais en retard à ton cours et que personne n'était présent, Ikuto t'encastra sur une porte de casier, de bloquant le chemin avec ses bras et son corps beaucoup trop près.
- Pourquoi tu t'éloignes? Nous étions proches avant, non? - O-on ne s'éloi-...- Arrête de te foutre de ma gueule, fit-il énervé. Qu'est-ce que j'ai fait? Je suis trop méchant? Trop collant? Je pus? - Non! Ce n'est pas toi....- Alors c'est quoi? Explique!Il s'éloigna un peu avant de se croisé les bras en te scrutant. Toi la tête baissée, tu n'osais pas répondre. Un soupire venant de lui te fit te relever la tête.
- Je... croyais qu'il y avait quelque chose entre nous, je n'étais peut-être pas assez subtile avec ça... Tu n'en croyais pas tes oreilles... Il venait de te déclarer son amour pour toi! Si c'était possible, ton cœur aurait explosé de bonheur tant tu étais heureux. Puis, la crainte vint t'envahir.
- Je... C'est mal... Je suis chrétien et … Mes parents me tueraient.... Et j'irais en enfer. Ikuto approcha de toi après sa surprise dissipé et dit une phrase digne d'une comédie romantique :
- Alors on ira tous les deux.Ce n'était malheureusement pas ton premier baisé, mais c'était tout comme, oubliant durant ces quelques minutes le vieil homme qui t'eut manipulé et les cours par la même occasion. Tout était magique, jusqu'à ce que la cloche sonne et que vous vous éloigniez aussi rapidement que l'éclaire, rougissant légèrement. Puis, tout se découla de cela, n'allant plus à l'église malgré les engueulades de tes parents face à un sujet aussi important pour eux. Tu te fis gifler la première fois, ce qui t'encourageas à réellement t'éloigner de ces bourreaux et de leur conneries, sortant sans leur permission et devenant la risée de ta famille et leur communauté merdique. Ikuto t'eut hébergé chez lui un moment, ayant dit que tu reviendrais quand ils se seraient calmés, mais tu n'avais pas vraiment envie de rentrer. Ton précieux petit-ami vivait dans un appartement, seul, ses parents n'étant plus présent pour lui sauf de manière monétaire depuis plusieurs années. Une discussion en amenait une autre comme le fait que tu ne ressemblais ni à tes parents, ni à des Japonais, lui expliquant par la suite que tu avais été adopté et que tu semblais être un ange facile à formé selon tes parents. Tu lui racontas ton plus grand secret après des mois d'hésitation, t'arrêtant après un moment en voyant le dégoût sur son visage tout comme la haine. Tu avais peur et honte, mais s'il ne pouvait pas accepter cette partie de ta vie, c'est que le destin te montra que ce n'était pas le bon ou que tu avais fait la pire erreur de ta vie.
- Pourquoi tu... n'as jamais rien dit à personne?- Et bien... Parce que ma mère aurait eu honte d'elle, du prêtre et de moi. Elle aurait été probablement considéré comme une mauvaise mère de donner son fils à un ''inconnu'' pour plusieurs heures. J'avais peur qu'il raconte des mensonges à ma mère, qu'elle me gifle ou que mon père me frappe... Tu.... Me détestes?Ce fut le soir que tu ne fis qu'un avec cet être absurde qui t'avait appris a reprendre confiance en toi. Pourtant, ce fut bien un de vos derniers moments de paix puisque tes parents eurent découvert le poteau rose et t'empêchèrent de le voir. Évidemment, tu t'enfuyais en silence, mais lorsque tu revint le voir, cet homme qui t'avait tout donné, était parti. Tu compris rapidement que ton père l'avait menacé ou soudoyé pour qu'il quitte la ville et qu'il ne revienne plus. C'est ainsi que tu te fis battre sauvagement par ton père, saignant lorsque tu lui avais dit qu'il venait de gâcher ton existence à jamais, les larmes coulant sur tes joues. Tu te ruas vers ta chambre et fit ton sac avant de partir, claquant la porte si fort que les murs tremblaient.
Pendant un moment, tu fis ce que tu savais faire de mieux pour gagner de l'argent facilement : vendre ton corps. Hommes, femmes, jeunes ou vieux, tu demandais une chambre et pas mal d'argent. Tu ne semblais pas vivre, mais tu ne voulais pas t'enfoncer dans les drogues ou l'alcool pour oublier ou te sentir un peu mieux. Trois ans de prostitution pour vivre. Tu allais continuer si ce n'était pas de cet homme qui, sortant du supermarché, te donna l'opportunité de ta vie.
Tu deviens mannequin, faisant peu à peu, de plus en plus de contrat jusqu'à voyager à Paris pour faire des photos. Tu commençais à réapprendre à apprécié ta vie. Puis, entre tes boulots un peu partout dans le monde, lorsque tu te posais enfin dans ta ville natale, tu commenças à écrire un livre, une autobiographie.
© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'